Prévention COVID 19 et de ses formes graves..

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La quatrième vague épidémique de Covid-19 étant apparemment imminente, je vous propose de voir ensemble comment se prévenir de l’infection, éviter les formes graves, et les traitements alternatifs, le cas échéant, pour optimiser notre système immunitaire, garant d’un terrain à toutes épreuves.
Maintenir un statut inflammatoire de bas grade le plus faible possible, un bon statut en vitamines et en antioxydants, et de bons taux hormonaux, sont les trois piliers de cette optimisation. Et ceci vaut pour toutes les infections virales et bactériennes, et la pleine santé d’une manière générale.

L’immunité, c’est le terrain
Je précise bien « optimiser » notre système immunitaire, et non le « booster » comme on l’entend souvent, qui s’avère en fait un raccourci de langage inexact.
Dans certains cas en effet, le système immunitaire ne doit justement pas trop être stimulé afin d’éviter les réactions inflammatoires incontrôlables : le (tristement) fameux « orage cytokinique » ou orage de cytokines, souvent fatal pour le patient Covdi-19. Ce phénomène hyperinflammatoire survient quand la réponse immunitaire initiale est inefficace.

Une réponse immunitaire incontrôlée
Pour rappel, l’infection par ce virus (le SARS-CoV-2) déclenche rapidement la production de molécules impliquées dans l’inflammation, un moyen naturel de lutte contre les infections : des cytokines , et d’autres médiateurs comme le TNF-alpha. Ces molécules exercent une action antivirale locale et attirent des cellules immunitaires : monocytes, macrophages, lymphocytes T, capables d’éliminer les cellules infectées.
Si cette réponse initiale est inefficace, la production des cytokines devient anormale et engendre ce phénomène hyper-inflammatoire : l’orage cytokinique, qui survient souvent autour du 8e jour suivant le début des symptômes. Il induit une réponse immunitaire incontrôlée, dont les conséquences peuvent mettre en jeu le pronostic vital et imposer une admission en réanimation.
La plupart des formes graves se développent dans la deuxième semaine suivant l’apparition des symptômes, lorsqu’un syndrome hyperinflammatoire apparaît dans la continuité de l’accumulation de liquide dans les voies respiratoires. Celui-ci peut conduire à une insuffisance respiratoire, voire à un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Les autres complications potentiellement graves pouvant apparaître sont une insuffisance rénale, des troubles du rythme cardiaque, des événements thromboemboliques (formation de caillots dans la circulation sanguine), des surinfections bactériennes ou une septicémie.
Le système immunitaire est complètement à plat, HS.

Les facteurs aggravants
L’âge et certaines pathologies associées font partie des facteurs de risque identifiés de développer une forme grave.
En ce qui concerne l’âge l’âge, ce sont les plus de 65 ans qui sont les plus exposés, d’après les dires des scientifiques… Ce n’est évidemment pas une fatalité, surtout si l’hygiène de vie est présente au quotidien!
Cependant, les plus de 65 ans représentent les trois quarts des personnes diagnostiquées nécessitant une hospitalisation et la moitié de celles nécessitant une réanimation.
Les 45-64 ans comptent quant à eux pour un peu moins de 20% des hospitalisations.
C’est somme toute « logique » dans la mesure où, en vieillissant, en l’absence de prévention, nos défenses immunitaires perdent en efficacité.
Quant aux pathologies associées, il s’agit notamment du diabète, de type 1 (auto-immun) et de type 2 (non auto-immun), avec un risque associé plus élevé chez les plus jeunes.
L’obésité également, avec un risque augmentant en même temps que l’indice de masse corporelle (IMC), et pouvant être plus élevé chez les plus jeunes là encore.
Enfin, les cancers, en particulier quand ils sont récents et/ou en progression et/ou en cours de traitement par chimiothérapie, avec un risque encore supérieur en cas de cancer hématologique.
Une cascade d’événements évitable
Pour ne pas en arriver là, il s’agit donc, non de booster comme je viens de vous l’expliquer, mais plutôt, pour prendre le terme exact cette fois, de renforcer toutes les barrières, à commencer par la barrière intestinale, siège de l’immunité (l’intestin abrite 80% des cellules immunitaires de l’organisme), et d’optimiser notre immunité afin qu’elle se défende à bon escient contre l’agent pathogène et non contre un ennemi qui n’en est pas un, comme dans le cas des maladies auto-immunes.
Pour cela, il est capital de maintenir un statut inflammatoire de bas grade le plus faible possible, condition garante d’une réponse adéquate (et non exagérée) à l’infection.
Cela passe bien sûr par l’alimentation, et elle repose sur quelques règles de base.
L’insuline étant pro inflammatoire, il s’agit de consommer des aliments à index glycémique modéré inférieur à 50, de limiter les graisses saturées et de favoriser les apports en acides gras oméga-3 (huiles végétales de lin, noix, caméline, petits poissons gras..), tout en arrêtant le gluten et les produits laitiers, connus pour activer l’inflammation au niveau de l’intestin via les cytokines.
C’est certes un leitmotiv, mais ces mesures de base vous assurent la meilleure protection qui soit contre les formes graves d’infections virales (dont le Covid-19) et bactériennes.
Les pâtes, les biscuits, les pizzas, les céréales, les produits laitiers, et autres chips : tous ces produits à éviter absolument sur lesquels tant de personnes se sont ruées de façon tout à fait irrationnelle lors du premier confinement, ne font que favoriser la dégradation de la perméabilité intestinale (Leaky gut syndrome) et exposent potentiellement ces personnes à des formes graves d’infection par des pathogènes nouveaux (comme l’est le SARS-CoV-2), ou pas d’ailleurs.
Ce type d’aliment détruit l’immunité à l’endroit même où elle est produite, c’est-à-dire au niveau du microbiote intestinal, la fameuse flore intestinale.
La prévention, c’est donc s’alimenter correctement afin de maintenir un intestin fonctionnel, c’est-à-dire en eubiose, ce qui passe également par le fait de bien mastiquer, ne l’oubliez jamais !
Mais cela peut ne pas suffire, simplement parce que vous êtes carencé en vitamines, minéraux ou micronutriments essentiels au fonctionnement complexe de votre belle « machinerie ». La prévention nécessite donc aussi de combler les carences le cas échéant, et il sera souvent nécessaire de se supplémenter, surtout en vieillissant.
Quand nous prenons de l’âge en effet, nos défenses immunitaires perdent en efficacité. Cette perte doit être compensée le plus tôt possible, bien en amont.

Les supplémentations recommandées pour prévenir l’infection :
La vitamine D. Pour ne pas être carencé, il faudrait pouvoir se mettre en maillot de bain au soleil pendant 20 à 30 minutes chaque jour, ce qui n’est pas le cas sous nos latitudes. Nous connaissons donc tous de fait un déficit sérieux en vitamine D (80% de la population en Europe) qu’il s’agit de combler en prenant un dosage important, qui va bien au-delà des recommandations officielles : jusqu’à dix fois plus.
Une vitamine D basse peut être la première cause d’infections à répétition.
Concernant le Covid-19, les études cliniques montrent que plus le taux de vitamine D est faible, plus il est potentiellement mortel, le seuil critique semblant être de 75 nmol/L ou 30 ngl/L. Par exemple, une étude conduite en Indonésie ayant suivi 780 personnes infectées par le SARS-CoV-2 est arrivée aux conclusions suivantes : 87,8% des patients décédés avaient une carence en vitamine D (75-50 nmol/l) vs 4,1% avec des taux optimaux de vitamine D (> 75 nmol/l). Le risque de décès était donc 19 fois plus élevé en cas de carence en vitamine D.
La vitamine D est immuno-modulatrice : elle augmente l’immunité contre le virus Covid-19 (et les autres, ce qui est connu de très longue date) et atténue la tempête inflammatoire et ses conséquences.
Pour avoir un taux optimal de vitamine D, il faut prendre entre 6 et 10 000, voire 12 000 UI/j.
Ma recommandation : d’abord faire contrôler son taux de Vitamine d (prise de sang), et supplémenter ensuite en fonction.

Il faut également se supplémenter en vitamine K2, qui évite notamment la calcification des tissus mous. Une étude en particulier a montré que la carence en vitamine K était corrélée avec la sévérité de la maladie : plus l’évolution du Covid-19 est sévère, plus la carence en vitamine K est importante.
La vitamine K, via une protéine spécifique (MGP), est déterminante pour ne pas démarrer la cascade de coagulation qui conduit à des caillots sanguins potentiellement mortels.
Prévenir l’infection passe aussi par le fait de se supplémenter en vitamine A, qui n’est pas importante que pour la vue. Elle contrôle en effet la trophicité des cellules des diverses muqueuses : les yeux, le vagin, la peau, ou encore la muqueuse intestinale, assurant ainsi une meilleure imprégnation de la muqueuse intestinale par des cellules immunitaires.
Les populations européennes sont très carencées en cette vitamine essentielle, ce pour diverses raisons. D’une part, elle est d’origine animale, et les courants modernes font qu’on ne mange plus de foie d’animaux. Elle peut être convertie de pré-vitamine A en vitamine A active à partir du bêta-carotène d’origine végétale si, et seulement si, l’intestin est en bonne santé, en eubiose.
Et quand les gènes s’y mettent… 40% de la population blanche en Europe convertit difficilement le bêta-carotène en raison d’un polymorphisme génétique.

Enfin, la non conversion du béta-carotène en vitamine A peut être liée à une hormone thyroïdienne T3 basse (hypothyroïdie fonctionnelle, si courante chez les femmes!).
Une déficience en vitamine A expose à un risque plus élevé d’infections respiratoires, parce qu’elle est en outre consommée en cas d’infections répétitives : ce qui accentue une carence existante.
Les taux santé en vitamine A sont de sont de 70-100 g/100 ml. Faites comme vos grands-parents, prenez de l’huile de foie de morue tous les jours, à raison de 2 à 3 gélules. Ce vieux remède qui a permis en son temps de lutter efficacement contre le rachistime est riche en vitamine A certes, mais aussi en vitamine D et en acides gras oméga-3.
Au minimum manger une boîte de foie de morue par semaine!
Enfin, quatrième vitamine importante figurant dans votre panoplie de la prévention : la vitamine E.
Cette vitamine, dont le gamma-tocophénol, a notamment pour action d’inhiber l’agrégation plaquettaire et de retarder la formation de thrombus.
Par son activité antioxydante, la vitamine E piège les radicaux libres et protège les organes importants, comme les poumons ou le foie.

Du zinc, des oméga-3…
En plus des vitamines, une supplémentation en zinc est incontournable, en particulier pour les personnes âgées qui connaissent souvent une déficience en zinc ou une mal absorption de ce minéral capital.
80% des personnes en Europe sont carencées en zinc !
La perte de goût et de l’odorat, symptômes rencontrés lors de l’infection au Covid-19 sont également ceux qui sont liés à une carence en zinc.
En préventif, les doses recommandées n’excèdent pas 50 mg (ration zinc/cuivre à respecter), mais peuvent être augmentées à 100 mg dans le cas d’une infection virale. Les taux sanguins de zinc à viser sont supérieurs à 100 g/dl.
Il est essentiel aussi d’avoir un apport suffisant (donc important !) en acides gras oméga-3 qui agissent surtout comme des immuno-modulateurs et s’avèrent ainsi de bons alliés pour éviter l’orage de cytokines. Les oméga-3 anti-inflammatoires sont à l’origine des cytokines anti-inflammatoires, contrairement aux oméga-6, qui sont pro inflammatoires.
On trouve les oméga-3 dans les poissons gras : sardines, maquereaux, harengs, ou sous forme de capsules en visant un apport en acides gras EPA/DHA autour de 1 gr par jour. Les résolvines et les protectines dérivées d’acides EPA et DHA ont montré un effet protecteur vis-à-vis des lésions pulmonaires dans le syndrome de détresse respiratoire.
Vous devez avoir aussi, bien sûr, un bon statut en vitamine C. Le scorbut est de retour, et il est fortement conseillé, pour tous, surtout en période virale, de pandémie, de prendre de la vitamine C tous les jours. La posologie en préventif de 1 gramme par jour peut être augmentée en cas d’infection à 5 voire 10 grammes si votre système digestif le tolère. Choisir une vitamine C naturelle!
L’acide ascorbique (vitamine C) a montré in vitro et in vivo une action inhibitrice sur ce que l’on appelle les inflammasomes NLRP3 qui induisent l’orage de cytokines lors de l’infection au SARS-Cov-2.
La mélatonine, neurohormone inductrice de sommeil et régulatrice du rythme circadien en cas de décalage horaire, a cette même action inhibitrice sur ces inflammasomes. Il peut donc être judicieux de se supplémenter.

Avoir un bon statut en antioxydants
Il est recommandé de se supplémenter en N acétyl cystéine (NAC). Cet acide aminé soufré a des propriétés multiples : détoxifiant hépatique, mucolytique, support contre l’addiction tabagique, etc. Dans le cadre de la prévention contre les infections, la NAC est recommandée en tant que précurseur du glutathion.
Le glutathion est un puissant antioxydant de l’organisme et ses taux chutent au cours du vieillissement. Il est essentiel pourtant de les maintenir à leur meilleur niveau en raison de la capacité démontrée du glutathion à inhiber la réplication virale lors d’affections respiratoires.
La supplémentation en NAC permet d’augmenter les niveaux de glutathion. Le dosage habituel est de 600 mg de NAC par jour.
À noter qu’il est très fortement conseillé de se supplémenter en NAC si on ne peut pas se passer de paracétamol, ce dernier faisant chuter les taux de glutathion et altèrant la fonction hépatique.
Et nous terminerons ce chapitre de la prévention antioxydants par les incontournables polyphénols.
Composants naturellement produits par les plantes pour mieux résister aux agressions extérieures, on les trouve dans les fruits (les plus colorés en particulier), les légumes, le chocolat, le thé et les aromates.
Chacun des polyphénols a des propriétés que je ne listerai pas tant elle prendrait de place à part, bien entendu, celles qui nous intéressent ici d’inhiber la réplication, la transcription ou la fonction d’un nombre important de virus.
Un flavonoïde en particulier, la quercétine, a donné des résultats prometteurs in vitro et in vivo. Et des travaux sont en cours pour étudier ses effets antiviraux de sur le SARS-CoV-2. La quercétine est déjà connue entre autres pour ses propriétés anti allergiques et elle est mieux absorbée en présence de bromélaïne.
Avoir un bon statut hormonal
Troisième pilier de la prévention contre l’infection et pour éviter les formes graves : vérifier et ajuster le cas échéant les taux sanguins de l’hormone thyroïdiennne T3 et de l’hormone DHEA.
La thyroïde, c’est le chef d’orchestre : elle stimule tout, y compris l’immunité. L’hypothyroïdie est une cause d’infections ORL à répétition, de rhinopharyngites à répétition, de bronchites, ou encore de congestion nasale. Donc si le nez est moins ventilé, la défense locale est moindre.
La thyroïde peut être affaiblie par une déficience en micronutriments et une exposition à la pollution, aux perturbateurs endocriniens et autres. Les taux de T3 doivent être > 5.2 pmol/l ou 3.4 ng/l avec disparition de tous les signes d’hypothyroïdie.
Le naturopathe peut vous aider en cas d’hypothyroïdie!

Quant à la DHEA, c’est une hormone très immuno stimulante, ce qui fait d’elle un rempart incontournable contre la maladie. Mais ses taux commencent à baisser à l’âge de 30-35 ans, puis ils diminuent de façon drastique à 40 ans. Mais cette déficience concerne également de plus en plus les adolescents dès l’âge de 14, 15, 18 ans.
Les taux sanguins doivent être supérieurs à 300 g/dl pour les femmes, et 400 g/dl pour les hommes.
Et si malgré tout cela…
Si malgré toutes ces précautions, vous venez à tomber malade, le traitement alternatif proposé, en plus de l’optimisation du système immunitaire, est à démarrer dès les premières heures. Ce sont en effet les plus importantes quand il s’agit de traiter une infection virale.

Vous disposez pour cela de deux outils qui sont de véritables armes de destruction massive des virus (et autres bactéries) : les huiles essentielles et l’argent colloïdal.
Les huiles essentielles sont des stimulants de l’immunité, notamment l’huile d’origan et de cannelle, que l’on peut utiliser seules ou en combinaison avec d’autres huiles essentielles, comme le laurier noble, le tea tree, le thym, etc.
Non seulement les huiles essentielles ont un effet immuno stimulant, documenté dans la littérature scientifique, mais elle ont aussi un effet destructeur. L’huile d’origan est virucide, bactéricide, fongicide. Quant à l’argent colloïdal, il s’agit une substance ancienne qui revient en force, notamment dans la lutte contre les bactéries multirésistantes. Elle est connue depuis très longtemps pour ses propriétés antiseptiques, antibactériennes et antivirales. Lorsque l’argent colloïdal est pris concomitamment avec l’huile d’origan, cela permet augmenter de 1000 à 10 000 fois l’efficacité des antibiotiques.
Pris seul, l’argent colloïdal a un effet spectaculaire au niveau des infections partout dans l’organisme, que ce soit au niveau de la flore intestinale, de la sphère ORL, des poumons ou encore de la peau.
L’huile d’origan existe sous forme de capsules gastro résistantes, qui doivent être prises en mangeant.
Attention : pas d’huiles essentielles pour les enfants de moins de 12 ans, les femmes enceintes et allaitantes! Toujours prendre l’avis d’un professionnel avant de les utiliser.
L’argent colloïdal doit, quant lui, être pris l’estomac vide, ce à raison d’une cuillère à soupe (en plastique ou en bois, et non en métal) par jour. Le dosage est en effet per os (par voie orale), ce qui n’est hélas pas autorisé dans tous les pays de l’Union européenne, dont la France..
Les personnes ayant une infection des voies respiratoires peuvent prendre l’argent colloïdal par nébuliseur, c’est également très efficace.

Le shiitake (lentinula elodes) est également très intéressant lors d’une infection débutante. Ce champignon, très consommé en Asie, possède des molécules bioactives, dont certains polyphénols, lui conférant des propriétés antivirales (observées sur le virus de l’hépatite C), immuno modulatrices, anti tumorales et hépato protectrices.
Bien choisir le fabricant est essentiel !
Et enfin, l’Artemisia annua est également aussi très intéressante mais, elle est interdite en France. Elle a pourtant montré son efficacité contre le paludisme depuis longtemps !
En 2002, des effets antiviraux contre le SARS-CoV-1 avaient été observés. Et ce sont les Chinois qui ont été les premiers à l’utiliser dès le début de l’épidémie de Covid-19.
Parmi les principes actifs identifiés, on retrouve l’artémisinine, l’amodiaquine, la lutéoline, le kaempférol, la quercétine et l’apigénine.

Au moins sept variétés d’Artemisia annua ont montré une inhibition de la réplication du virus SARS-CoV-2 après sa pénétration dans la cellule, sous l’action de l’amoquiadine, selon le département de biologie et de biotechnologie du Worcester Polytechnic Institute.
La posologie est de 2 gélules 2 à 3 fois par jour.

Ainsi « blindé », rien ne résistera à votre système immunitaire, et vous voilà prêt à affronter la quatrième vague épidémique un peu plus sereinement (la gestion du stress et de la peur fait aussi partie de la prévention, elles sont même prioritaires !), et dont vous saurez amenuiser les conséquences si elle vous touche malgré tout, si vous agissez dès les premières heures.

De plus, en cas de vaccination, des protocoles sont recommandés en amont, notamment par la prise d’anti-oxydants et d’homéopathie.

N’oubliez pas ! La prévention passe par une bonne hygiène de vie et une complémentation adaptée!

Prenez soin de vous.

Edwige FAJFER
Naturopathe-Iridologue à Biarritz
Consultations au cabinet et en visio sur rdv au 04 67 57 14 97.
Formations : www.ifnat.com

Source : Marion Kaplan et Myriam Marino
Pleine santé du dr Résimont et Alain Andreu